
En effet, la Confédération africaine de football pencherait encore vers le statu quo. D’après nos confrères de Foot 365, la CAF « n’envisage pour l’instant aucun plan B».
Officiellement, l’instance du football africain maintient toujours les dates de la compétition du 14 janvier au 5 février 2017 au Gabon. A Libreville, les rumeurs faisant état de la délocalisation de la prochaine Can commencent à exaspérer. Au courant de ces rumeurs, le ministre des sports, Blaise Louembé, a balayé d’un revers de la main, sur le plateau de la chaine de télévision Kanal 7, dimanche 11 septembre dernier, l’éventualité de voir se jouer la Can 2017 hors du Gabon. Wait and see !
« J’ai été à Oyem, j’ai été au stade de Port-Gentil, j’ai visité les deux stades de Libreville. Il n’y a aucune difficulté technique ou infrastructurelle de nature à entraver l’organisation de la Can 2017 au Gabon », a déclaré Blaise Louembé.
Avant d’ajouter que « Sur le plan sécuritaire, toutes les dispositions sont prises pour que la compétition se tienne conformément au cahier des charges de la Confédération africaine de football».
En Algérie, pays cité pour le plan B de la Caf, selon les mêmes rumeurs, les autorités sportives de ce pays ont affirmé que l’organisation de la Can n’est pas à l’ordre du jour. Le ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali a fait savoir que « la décision du plan B en désignant notre pays appartient à la Caf et non aux spéculations ».
Elang-Mane
publié le 15 Septembre 2016